Les moulins à sang, dit "molae asinariae" (du latin, molae : meule et asinarius : d'âne), concernent directement l'origine des moulins. Il s'agissait d'atteler un animal, comme le cheval ou plus couramment un âne, à une perche horizontale fixée à une meule et à l'axe vertical du moulin, en avançant, l'animal faisait mouvoir la meule (verticale) sur un plan horizontal et à l'intérieur d'une grande vasque broyant ainsi les olives (ou le grain).